A travers l’analyse d’épidémies ayant sévi au Gabon et en République du Congo, ce livre développe une approche visant à « dénaturaliser » les épidémies de fièvre hémorragique à virus Ebola (FHVE).
Que l’on convoque la notion de risque ou que l’on inspecte les interventions humanitaires associées à la gestion des épidémies de FHVE, celles-ci sous-tendent des enjeux de pouvoir et de représentations prégnants qui structurent la géographie sociale de cette maladie.
Préface de Emmanuel Éliot et Anne-Cécile Hoyez.
Avec le soutien du laboratoire ESO de l’université Rennes 2.
Ouvrage publié aux Presses Universitaires de Rennes (PUR)
A propos de l’auteur
Clélia Gasquet-Blanchard est maîtresse de conférences en géographie au Département des sciences humaines et sociales (SHS) de l’EHESP et attachée à l’UMR 6590 Espaces et sociétés.