Arkea, Banque Entreprises et Institutionnels (ex BCME), la banque des entreprises et des institutionnels du groupe Crédit Mutuel Arkéa vient de signer une convention de mécénat avec l’EHESP. Cette convention renforce l’ouverture sur l’extérieur de l’Institut du management (IdM) de l’école qui forme les cadres supérieurs de la santé et du secteur social au niveau national et international.
Dans le cadre de ce partenariat, les travaux de recherche de la chaire en management des technologies de santé du Professeur François Langevin, enseignant chercheur et ingénieur biomédical hospitalier, seront soutenus financièrement par Arkea, Banque Entreprises et Institutionnels (ex BCME).
La leçon inaugurale de cette chaire se tiendra le mercredi 26 octobre dans le cadre des journées du management de l’IdM de l’EHESP, organisées les 25 et 26 octobre à l’EHESP.
Arkea, Banque Entreprises et Institutionnels (ex BCME) participera également à l’organisation d’un colloque avec l’EHESP à destination des cadres dirigeants du secteur de la santé.
A l’occasion de ce partenariat, Gérard Bayol, Président du directoire de Arkea, Banque Entreprises et Institutionnels (ex BCME), déclare : « Nous sommes très heureux de cet engagement aux côtés de l’EHESP. En effet, en tant que partenaire du développement local, Arkea, Banque Entreprises et Institutionnels (ex BCME) est amenée à travailler quotidiennement avec les acteurs de la santé publique. Ce soutien en faveur de la recherche dans le domaine des politiques et des actions de santé publique est pour nous symboliquement fort. Il l’est d’autant plus que le siège d’Arkea, Banque Entreprises et Institutionnels (ex BCME), comme celui de l’EHESP, est situé à Rennes. »
Roland Ollivier, Directeur de l’Institut du management de l’EHESP, à l’origine de la chaire en management des technologies de santé, ajoute : « Cette convention de mécénat entre Arkea, Banque Entreprises et Institutionnels (ex BCME) et l’EHESP marque la volonté de chacune des parties de travailler ensemble dans le respect de leurs cultures respectives. Il faut y voir une ouverture au regard de l’autre sur les problématiques impliquant les nécessaires conventions partenariales entre institutions publiques et partenaires privés – et le management des technologies de santé en est une. »
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