Grande École de santé publique de portée nationale et internationale, l’EHESP annonce la création d’une nouvelle mention « Administration de la santé » qui vient étoffer et élargir son offre de formation de niveau Master. Dès la rentrée de septembre 2021, étudiants et professionnels pourront suivre le parcours Master 2 « Analyse et management des organisations de santé » (AMOS) à Paris en amont de l’ouverture, à l’horizon 2022, de trois autres parcours de formation au sein de cette nouvelle mention.
Les candidatures pour rejoindre le Master 2 AMOS – Paris sont attendues jusqu’au 21 mai 2021 sur la plateforme en ligne de l’EHESP.
Avec la création d’une nouvelle mention « Administration de la santé », l’EHESP entend renforcer son offre de formation dédiée au pilotage et à la gestion des établissements, services et politiques de santé. Bénéficiant d’un choix élargi de parcours de Masters adossés à la mention « Santé Publique », l’EHESP a souhaité développer une offre complémentaire afin de renforcer les compétences dans le champ de l’organisation, du management et de la performance de notre système de santé. Dès septembre 2021, l’EHESP accueillera une première promotion d’une vingtaine d’apprenants au sein du Master 2 « Analyse et management des organisations de santé » avec une répartition hybride des apprentissages, en présentiel à Paris et également à distance. En 2022, cette nouvelle mention sera structurée autour d’un parcours de Master 1 et de trois parcours de Master 2 en lien avec ces thématiques :
- Master 1 parcours « Organisation, régulation et Management en santé »
- Master 2 parcours « Analyse et Management des organisations de Santé »
- Master 2 parcours « Management et Pilotage en Situation Sanitaire Exceptionnelle »
- Master 2 parcours « Droit et Gouvernance du Secteur Sanitaire et Social »
Une opportunité pour l’EHESP de conforter une vision élargie et pluridisciplinaire de la santé publique incluant l’administration de la santé, déjà promue au sein de ses formations et ses activités de recherche. Une nécessité également de préparer nos systèmes de santé et nos organisations à affronter les défis de demain.